Seigneur,
nous te disons merci pour les moments forts vécus dans notre paroisse avec le
Père Constant. Rappelons-nous la fête des 150 ans de l’église St Maurice, la
journée « Église en chantiers » qui ont permis des rencontres conviviales pour
célébrer le passé et pour se tourner vers l’avenir. Nous pensons également aux
vidéos de partage de la Parole pendant cette longue période de confinement. Ces
temps nous ont permis de faire du lien les uns avec les autres et d’être en
communion. Seigneur, nous te disons merci également pour tous ceux que tu mets
en route et qui agissent pour faire de notre paroisse, une communauté vivante
et joyeuse.
Seigneur,
nous te demandons pardon car nous n’avons peut-être pas toujours su être
ajustés à notre curé.
Nous
te rendons grâce pour le bout de route parcouru ensemble avec le Père Constant.
Seigneur,
nous te prions pour que le Père Constant reçoive un bon accueil dans son
nouveau lieu de vie et pour qu’il s’adapte et s’épanouisse dans sa nouvelle
mission.
Mon cher Constant, Chers amis,
Ah qu’il est loin le temps
ou le curé faisait souche dans le village et y demeurait jusqu'à sa mort !
A peine 2 ans que vous êtes
arrivé et vous nous quittez déjà. Deux ans c’est bien court. Court pour que
vous fassiez connaissance avec la paroisse et les paroissiens. Court pour qu’ils
vous comprennent et vous apprécient.
Et hop, 2 petits tours et
puis s’en va ! Petite valse à 2 temps mal orchestrée, valse boiteuse, ceux
qui l’ont composée ne sont pas très doués ! attristant !
Cependant, Constant, et
nonobstant ces préliminaires, mon rôle à moi, président de l’association
Paroissiale de Francheville, et c’est une constante, est de délivrer avec
constance et si possible éloquence, au nom de cette belle assistance, un petit
compliment de circonstance, stances en rime ou en prose, pas d’importance pour
dire en substance 2 ou 3 choses :
1. En 1
PARDON.
Pardon
de ne pas avoir pris le temps de vous écouter, de vous attendre là ou vous
êtes, constamment pressés, pardon pour notre impatience et bravo pour votre
résistance. Pardon de ne pas vous avoir laissé aller à votre rythme. Ne dit-on
pas en Afrique : « vous avez la montre, nous on a le
temps » C’est celui-là qu’on ne vous a pas laissé ! Dans votre mot
d’adieu, vous demandez beaucoup pardon, je crois qu’on est quitte.
2. En
2 : MERCI.
Merci
pour votre présence toujours sympathique, votre gentillesse constante, votre grand
rire. Merci pour les petits gestes d’affection personnalisés, messages ou
chemisette qui donne, vous le remarquez, une certaine prestance à celui qui la
porte. Merci de nous avoir accompagnés durant ces 2 années, dans les moments
heureux et festifs comme dans ceux plus tristes, lot propre à toute communauté.
Merci
3. Enfin
en 3 : BONNE ROUTE
Nous
espérons sincèrement que cette nouvelle mission sera la bonne, que vous serez
bien entouré, soutenu dans ce travail si difficile qui est le vôtre. Nous
espérons aussi que les liens tissés ici ne seront pas rompus : la distance
est faible : A quand une visitation soit à Roanne, soit à Francheville,
comme celle bien sympathique que nous avons eu à la Pacaudière.
Prenez soin de vous et pour paraphraser Isaïe au chapitre 43, « vous avez du prix à nos yeux »
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